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2 févr. 2011

[Journée d'étude] Diasporas, migrations, intégration : les Chinois dans le monde.

Samedi 5 février à 10h-18h - Musée du Quai Branly
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Cette journée présentera les trajectoires de la diaspora chinoise dans le monde, la diversité de ses formes d’intégration, les forces qui maintiennent son unité et le rôle d’attracteur que joue pour elle la République de Chine. 
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En collaboration avec le département de le recherche et de l’enseignement.
Avec Jean-Philippe Béja, directeur de recherche au CNRS,
Frédéric Keck, philosophe et anthropologue,
Thierry Sanjuan, Professeur des universités, Paris 1 Panthéon-Sorbonne,
Jean Baffie, chercheur au CNRS, IRSEA Marseille,
Emmanuel Ma Mung, directeur de recherche au CNRS,
Jean-Louis Margolin, Maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Provence (Aix-Marseille 1) et chercheur titulaire à l'Institut de Recherche sur le Sud-est Asiatique (Irsea/Cnrs), Marseille.
  • 9h45 - Accueil
  • 10h - introduction par Frédéric Keck
  • 10h15 - Le monde chinois à l’heure de la globalisation, par Thierry Sanjuan
  • 11h - Chinatowns : villes chinoises ou Chines imaginaires ? par Emmanuel Ma Mung
  • 11h30 - Débat avec le public
  • 12h30 - Pause Déjeuner
  • 14h - La longue présence des Chinois dans le monde malais, par Jean-Louis Margolin
  • 14h30 - Après les secteurs de l’économique et du politique, les Chinois de Thaïlande  assurent la promoton de la culture chinoise, par Jean Baffie
  • 15h - Emergence de cinémas de Chinois «des mers du Sud» en Malaisie et à Singapour. par Raphaël Millet
  • 15h30 - Débat avec le public
  • 15h45 - Pause
  • 16h - Parenté flexible. Ajustements familiaux et accumulation de capitaux dans la diaspora chinoise en Polynésie, par Anne-Christine Trémon
  • 16h30 - Les enjeux économiques de la Chine en Afrique, Jean-Raphaël Chaponnière
Programme complet disponible sur le site du Musée du Quai Branly.

19 déc. 2010

Conférences Chine à l'Université Populaire du quai Branly;

UNIVERSITE POPULAIRE DU QUAI BRANLY
5 conférences traitant de la Chine à travers des angles originaux auront lieu tout au long de l’année dans le cadre de l’Université Populaire du quai Branly dans les cycles Décalages, les Autres et nous et  l’Histoire mondiale de la Colonisation.

Le supplice chinois par Jérôme Bourgon
Jeudi 13 janvier 2011, 18h30
Historien, Jérôme Bourgon est directeur de recherche au CNRS, chercheur à l’Institut d’Asie Orientale de Lyon, spécialiste de l’histoire de la modernisation du droit chinois et des supplices chinois. Il est depuis 2008 affecté au CNRS à Pékin. Il a notamment dirigé le projet Supplice chinois / Chinese Torture : Approche historique, littéraire et iconographique d’une représentation exotique, site Internet de recherche, entre 2003 et 2006.

C’est du chinois ! par Viviane Alleton
Jeudi 20 janvier 2011, 18h30
Linguiste française et sinologue, Viviane Alleton est directrice d’études à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales (Langue, savoirs et société en Chine). Ses thèmes de recherche actuels sont les représentations, en Chine et hors de Chine, de la langue (en particulier de la grammaire) et de l'écriture chinoise.

Les coolies par Xavier Paulès
Jeudi 27 janvier 2011, 18h30
Né en 1973, agrégé d’histoire, ancien élève de l’École Normale Supérieure de Cachan, Xavier Paulès est historien.
Il a soutenu en 2005, à l’Université Lyon 2, sa thèse L’opium à Canton 1912-1937. Essais de mainmise politique et pratiques sociales, récompensée par deux prix et publiée aux éditions de l’EHESS. Après un post-doctorat à l'Université de Tokyo, il a occupé des postes d'Attaché temporaire d’Enseignement et de Recherche (ATER) dans les Universités Paris VII, Paris XIII, et à l'Université du Littoral Côte d'Opale. Il a été élu maître de conférences à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales en 2010.
Xavier Paulès a publié de nombreux articles consacrés à l'opium en Chine. Son premier livre, tiré de sa thèse, sortira aux éditions de l'EHESS en 2010, sous le titre Une drogue en sursis. L’opium à Canton, 1906-1936.
Il a étendu ces dernières années le domaine de ses recherches aux jeux de hasard en Chine à l'époque moderne (loteries, combats de criquets, d’oiseaux, jeux de dés, mah-jong ou poker).

Mao par Yves Chevrier

Jeudi 2 juin 2011, 18h30
Historien spécialiste de la Chine, Yves Chevrier est directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales. Il est également chercheur au CNRS et enseignant à l’INALCO.
Ses travaux ont été consacrés principalement à l'histoire de la construction du politique en Chine au XXe siècle. Il a tout particulièrement exploré le répertoire des idées politiques et les trajectoires de la politisation de la société chinoise dans la première moitié du siècle, mais aussi l'itinéraire des réformes post-maoïstes et les relations entre un contexte historique « local » (l’espace chinois) et la mondialisation du monde à l’horizon du XXe siècle.

L’université Populaire du quai Branly.

Pour sa cinquième saison, l’Université populaire, sous la direction de Catherine Clément, approfondira la mémoire des autres et le regard sur l'autre.
L’histoire de la colonisation, commencée dès septembre 2006, explore de nouveaux archétypes coloniaux dont les représentations nourrissent encore aujourd’hui notre imaginaire. Le cycle suivant concernera toutes les grandes figures de la décolonisation, à partir de Toussaint Louverture.
Les expériences biographiques illustres continuent avec les Grands Témoins, plus nombreux cette année à venir d’Asie et d’Afrique.
Enfin, un nouveau cycle, dont le titre est Décalages : les Autres et nous, propose de décrypter les cadres de la vie quotidienne en fonction de la vision de l'Occident, confrontée aux points de vue des autres continents.
Plus d’une trentaine de conférences en accès libre, pour découvrir, décrypter et analyser des parcours, des histoires et des questions philosophiques universelles.
Direction de l’Université populaire : Catherine Clément, philosophe et romancière, assistée de Frédéric Keck, anthropologue, et Guillaume Dutournier, sinologue
Théâtre Claude Lévi-Strauss
Accès libre dans la limite des places disponibles

24 nov. 2010

[Article] Chine : une femme est condamnée à passer un an dans un camp de travail pour un tweet.

Chinese woman sentenced to a year in labour camp over tweet
17 novembre 2010 | Amnesty International.

Amnesty International a exhorté les autorités chinoises ce mercredi 17 novembre 2010 à libérer une femme condamnée à passer une année dans un camp de travail, parce qu'elle a relayé sur Twitter un message considéré comme anti-Japonais.Amnesty International today urged the Chinese authorities to release a woman sentenced to a year in a labour camp for retweeting a supposedly anti-Japanese message. [English version here]

Lundi 15 novembre, la cybermilitante chinoise Cheng Jianping a été condamnée à une année de « rééducation par le travail » pour « trouble à l'ordre social », parce qu'elle a relayé sur Twitter le lien vers un billet satirique du 17 octobre, qui suggérait de détruire le pavillon du Japon à l'Exposition universelle de Shanghai.
Cheng Jianping a « disparu » dix jours plus tard, le jour même de son mariage. On ignorait ce qui lui était arrivé, jusqu'à ce qu'on apprenne cette semaine qu'elle avait été placée en détention et condamnée par la police locale.
« Condamner quelqu'un à un an de " rééducation par le travail ", sans procès, simplement pour avoir relayé le commentaire clairement satirique d'une autre personne sur Twitter illustre le niveau de répression qui sévit actuellement en Chine contre la liberté d'expression sur Internet », a déclaré Sam Zarifi, directeur du programme Asie-Pacifique d'Amnesty International.
Le tweet (message envoyé via Twitter) choquant a été initialement posté par le fiancé de Cheng Jianping, Hua Chunhui, qui se moquait des jeunes manifestants chinois nationalistes qui avaient fracassé des produits japonais pour protester contre un accrochage maritime impliquant la Chine et le Japon au large des îles contestées Diaoyu/Senkaku.
Dans le tweet original de Hua Chunhui, on pouvait lire : « Manifester contre le Japon, détruire des produits japonais, tout cela a déjà été fait il y a des années par Guo Quan [militant et spécialiste du massacre de Nankin]. Rien de nouveau à l'horizon. Si vous voulez vraiment passer à la vitesse supérieure, prenez le premier avion vers Shanghai pour détruire le pavillon japonais de l'Expo. »
En relayant ce commentaire sous le pseudonyme de « wangyi09 », Cheng Jianping a ajouté la phrase suivante : « Jeunesse en colère, à l'attaque ! » Trois personnes seulement ont transféré ce tweet via Twitter.
Cheng Jianping est sans doute la première citoyenne chinoise à devenir une prisonnière d'opinion sur la seule base d'un tweet.
Il semble que son fiancé Hua Chunhui, connu sur Twitter sous le pseudonyme de « wxhch », n'ait pas été arrêté.
« Il est possible que Cheng Jianping ait été prise pour cible en raison du cybermilitantisme qu'elle a déployé ces dernières années et de l'expression de son soutien en faveur d'autres dissidents et militants chinois », a indiqué Sam Zarifi.

Une blague sur Twitter = une Chinoise en prison 
19 nov. 2010 | BBC News (By Damian Grammaticas, Beijing) | Via Infos-du-net (Par David Civera).

Une citoyenne chinoise de 46 ans vient d’être condamnée aux travaux forcés sans avoir eu la possibilité de se défendre au cour d'un procès. La raison invoquée est un message Twitter de son fiancé qu'elle a renvoyé et qui était une blague sur les manifestations chinoises envers le Japon.

Une situation diplomatique difficile
Le mois dernier, les relations diplomatiques chinoises et japonaises ont souffert à cause d’une dispute sur la territorialité d’îles inhabitées à l’Est des eaux chinoises. Une association de jeunes nationalistes chinois a manifesté son mécontentement en fracassant des produits japonais. Pour plus d’information, nous vous proposons un reportage de Reuters ci-dessous.
C’est dans ce contexte que Cheng Jianping a répercuté le tweet de son fiancé qui affirmait :
« Les démonstrations anti-japonaises, la destruction de produits japonais, tout cela a déjà été fait il y a des années par Guo Quan [NDLR: un activiste renommé et spécialiste du massacre de Nankin]. Ce n’est pas nouveau. Si vous voulez vraiment relever le niveau, vous devriez prendre l’avion pour Shanghai et fracasser le pavillon de l’exposition japonaise ».
Cinq caractères = un an de travaux forcés
Elle a ensuite rajouté cinq caractères qui pourraient être traduits par « À l’attaque, jeunes en colère ».
Le gouvernement chinois n’a pas du tout aimé que ces deux citoyens tournent en dérision les manifestations qu’il a pourtant condamnées en public, mais n’a rien fait pour empêcher ou diffuser.
Dix jours après la publication des deux messages, soit le jour de leur mariage, le couple a mystérieusement disparu. Le fiancé a refait surface quelques jours plus tard et a expliqué qu’il fut relâché sans que des charges soient portées contre lui. Par contre, la police locale à envoyer Mlle Jianping dans un camp de travaux forcés pendant un an pour une «ré-éducation par le travail ». Son fiancé a entamé une grève de la faim pour plaider sa libération.

Une excuse pour lutter contre l’opposition
Il est important de noter que la détenue est connue pour ses actions de défenses en faveur des droits de l’homme et fut déjà arrêtée pour son soutient à diverses causes promouvant la démocratie. Il est donc fort probable qu'elle était déjà sous surveillance. Ces évènements montrent donc à quel point le gouvernement observe ce qui se passe sur Twitter et n’hésite pas à l’utiliser comme excuse à des fins politiques et répressives. Le service de microblogging a été banni par le gouvernement, mais reste utilisé par de nombreux internaute chinois contournant les pare-feu.

21 nov. 2010

[Journée d'étude] Les recompositions du rapport urbain-rural dans les mobilités de loisirs en Chine au début du XXIè s.

(Leisure mobilities as the Space of the new Encounter between the Rural and Urban in China at the beginning of the XXIst C.)
L'éclatement de la ville sur les campagnes?

Lundi 6 décembre 2010 (9h15 à 18h)
 
Cette journée d’étude invite à poursuivre la réflexion sur le rôle des mobilités du tourisme dans la construction d’une « expérience chinoise de la modernité » qui recompose les paysages, réels et imaginaires, de l’urbanité et de la ruralité selon des modes inédits. Comme toute destination touristique, la « campagne » fréquentée dans le cadre des mobilités de loisirs est un lieu inventé, re-dessiné par les imaginaires et les attentes de visiteurs pour l’essentiel en provenance des zones urbaines. Les formes de la rencontre entre le rural et l’urbain qui se construit dans le temps et l’espace de la fréquentation touristique des lieux (re)façonnés pour la consommation touristique doivent être examinées, particulièrement dans les nouveaux sites où se réalisent ces « désirs d’ailleurs » (campagne, montagne, steppes etc.).

Journée d’études organisée dans le cadre du Pôle Ville de l’Université Paris-8, en partenariat avec le Centre d’études sur la Chine moderne et contemporaine (CECMC-UMR 8173 Chine Corée Japon/EHESS-CNRS) et le Pôle de Recherches pour l’Organisation et la Diffusion de l’Information Géographique (PRODIG-UMR 8686/ Paris1-Panthéon-CNRS).

Lieu : Université Paris-8 Vincennes à St-Denis, Bât A, service de la recherche salle 2278.

Plus d'informations : Programme de la journée d'étude (pdf)
Plus d'informations : Annonce sur le site de l'Université Paris 8.

Organisation et contact : Béatrice DAVID, anthropologue, maître de conférences au département de sociologie (UFR HLS) de l’université Paris 8, chercheuse associée au Centre d’Etudes sur la Chine Moderne et Contemporaine (CECMC).
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17 nov. 2010

[Concert] Camkytiwa.

Vendredi 19 novembre à 20h30
Auditorium Guimet, 6 place d'Iéna, Paris 16

Camkytiwa
Avec Huong Thanh (Vietnam) : voix - Yan Li (Chine) : erhu - Fumie Hihara (Japn) : koto et shamisen - E' Joung-Ju (Corée) : gômoungo
 

En vietnamien, les quatre mots Cam, Ky, Thi et Hoa signifient Musique, Stratégie (en jeu d’échecs), Poésie et Peinture.
Ils représentent les quatre qualités idéales de la femme vietnamienne.
Symbolisées par quatre célèbres musiciennes de charme de l’Extrême-Asie, Huong Thanh nous emmène avec le groupe Camkytiwa vers un monde lointain où les pays ont une fleur comme emblème et où tout est beauté, sérénité et douceur.
Elle interprète un répertoire inédit de chants traditionnels des trois régions du Vietnam, accompagnée au gômoungo par E’Joung-Ju du pays de l’hibiscus (Corée), au shamisen et au koto par Fumie Hihara du pays des cerisiers roses (Japon), et à l’erhu par Yan Li du pays des jasmins (Chine).
Huong Thanh est née à Saigon au Vietnam, d’une famille de musiciens renommés.
Depuis l’âge de 16 ans, elle mène une carrière internationale. Récompensée par de nombreux prix, elle a multiplié les expériences tant dans le domaine de la musique traditionnelle que du jazz ou de la musique de fusion.
Issue d’une famille d’artistes et de prêtres shintoïstes depuis plusieurs générations, Fumie Hihara a été formée au kata dès l’âge de 9 ans, elle devient rapidement virtuose du shamisen puis du koto.
Elle partage depuis 2004 sa carrière entre la France et le Japon.
Après dix ans au sein de l’orchestre régional de Gwangju en Corée, E'Joung Ju décide de quitter l’orchestre, malgré le refus de ses maîtres, afin de créer son propre style et sa propre musique. Lauréate du concours Trésor National Vivant numéro 16 en 1994, elle est aujourd’hui l’une des rares solistes de gômoungo à mener une carrière internationale.
Yan Li, virtuose chinoise et professeur d’erhu, est née à Jinan en Chine. Disciple du célèbre maître Song, elle multiplie les expériences avec des musiciens de diverses origines, elle a aussi participé à l’enregistrement de musiques de films. Un voyage musical qui nous transporte de la Perle de l’Extrême-Orient vers les rivages du Pays du Soleil Levant en passant par l’Empire du Milieu et le Pays du Matin Calme.
prix des places :17 et 12 €
AUDITORIUM GUIMET
Musée national des arts asiatiques
6, place d’Iéna – 75016 Paris 

23 oct. 2010

[Publication] Irasec / New Dynamics between China and Japan in Asia.

How to Build the Future from the Past?
Edited by Guy FAURE (CNRS)
World Scientific , Singapore , 2010, 349 pages.
ISBN : 13 978-981-4313-66-7
ISBN : 10 981-4313-66-1

This book is a study of ties between China and Japan and their Asian counterparts. It does not therefore directly treat bilateral relations between these powers, as they already constitute the subjcect of many other studies. A lengthy perspective has been taken into account in order to recall past legacies, some of which are still painfully contentious, and to record evolutions in attitudes and strategies vis-à-vis Asian countries.

Contents
Introduction: The New Sino-Japanese “Great Game” in Asia : Between Competition and Complementarities | By Guy Faure
Chapter 1: Anchoring the Right Pattern of Interdependence and Rivalry: China-Japan Relations under the New Leadership | By Taeho Kim
Chapter 2: Chinese Nationalism in Sino-Japanese Relations | By Jiyoung Choi
Chapter 3: China ’s “Military Diplomacy” and Expanding Military Power Projection Capability  | By Masayuki Masuda
Chapter 4: China/Japan/ASEAN: What Kind of Cooperation for What Issues?  | By Sophie Boisseau du Rocher
Chapter 5: Foreign Direct Investments in Southeast Asia and Sino-Japanese Rivalry | By David Hoyrup
Chapter 6: Japan and the Reconstruction of Indochina | By Masaya Shiraishi
Chapter 7: The Asian Development Bank and the Chinese and Japanese Power Plays | By Guy Faure
Chapter 8: Corridor Linkages in the Greater Mekong Subregion: New Implications for Peninsular and Regional Powers | By Christian Taillard
Chapter 9: Evaluating Effectiveness of GMS Economic Corridors: Why More Focus on Bangkok-Hanoi Road that East-West Corridor? | By Masami Ishida
Chapter 10: Myanmar and Japan : How Close Friends Become Estranged? | By Toshihiro Kudo
Chapter 11: The Chinese in Burma : Traditional Migration or Conquest Strategy? | By Guy Lubeigt
Chapter 12: Thailand ’s Economic relations with China and Japan | By Suthiphand Chirathivat
Chapter 13: Vietnam ’s View of China : An Intimidating Partner | By Matthieu Salomon and Doan Kiêt Vu

Guy FAURE
is a Research Fellow at CNRS and Director of the Institute of East Asia (IAO), and head of the master course in Asian Studies at Lyon Institute of Political Studies. He was a former Director of the Research Institute on Contemporary Southeast Asia (IRASEC) in Bangkok (2004-2008), Executive Director of the Japan-French Chamber of Commerce and Industry (1986-1992), and Fellow at the Maison Franco-Japonaise in Tokyo (1983-1986). He taught at Tokyo and Chuo universities, as well as at the School of Oriental Languages in Paris .

Contacts :
- Benoît de Tréglodé, Director/directeur : benoit.de-treglode@irasec.com
- Jérémy Jammes, Deputy director/directeur adjoint : publications@irasec.com
IRASEC c/o French Embassy
29, Sathorn Tai Road , Bangkok 10120 Thailand
Tel: (66) 026 27 21 87
www.irasec.com

23 sept. 2010

[Colloque] La Chine entre ruptures et traditions ? Travail, genre et migrations à l'heure des réformes.

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Le MAGE : Groupement de recherche européen, Marché du travail en genre en Europe - CNRS, en collaboration avec l'Université Paris-Dauphine organise un colloque à Paris, le vendredi 8 octobre 2010.

Deux tables rondes sont programmées :
1) Configurations et mutations chinoises
2) Les nouveaux enjeux du travail et des professions

Vendredi 8 octobre 2010

Voir le programme.
 
Université Paris-Dauphine - Amphithéâtre Raymond Aron
Place Maréchal de Lattre de Tassigny - 75016 Paris
M° Porte Dauphine (ligne 2 RATP) ou Avenue Foch (RER C)

Entrée libre - inscription obligatoire, avant le 01/10/2010, par mél, auprès d’Anne Forssell (mage  / at  / mage.cnrs / point/ fr)

23 août 2010

[Publication] Les "fiancées" vietnamiennes en Chine.

Caroline GRILLOT

VOLÉES, ENVOLÉES, CONVOLÉES...
Vendues, en fuite ou re-socialisées : les « fiancées » vietnamiennes en Chine
(STOLEN, VANISHED, WEDDED Sold, Runaway, or Re-socialized: the Vietnamese “Brides” in China)

Préface de (Preface by) Dr. Élisabeth ALLÈS
Chargée de recherche au CNRS
Directrice du Centre d’étude sur la Chine moderne et contemporaine Ecole des Hautes Études en Sciences Sociales (Paris)
(Research Fellow at CNRS, Director of the CECMC at EHESS Paris)

Avant-propos de (Foreword by) Dr. Pierre LE ROUX
Ethnologue spécialiste de l’Asie du Sud-Est, superviseur scientifique de cette enquête commanditée par l’Institut de recherche sur l’Asie du Sud-Est contemporaine
(Social anthropologist, Specialist in Southeast Asian issues, Scientific Supervisor of this survey sponsored by IRASEC)

Résumé de l’ouvrage
Elles vivent discrètement dans les bourgades et villages chinois du Yunnan et du Guangxi, à la frontière de leur pays d’origine. Migrantes clandestines, femmes abusées, des Vietnamiennes de tous âges tentent de vivre décemment une existence d’épouse et de mère, malgré elles en marge de leurs communautés d’origine et d’accueil. Si leurs consœurs des bordels frontaliers attirent l’attention, ces infortunées ne suscitent guère l’intérêt. Héritières d’un turbulent passé de conflits, de négoce et d’alliances matrimoniales entre Chine et Vietnam, poussées par la pauvreté et le désir d’émancipation, elles contribuent pourtant à résoudre un grave problème que la Chine subit depuis peu, conséquence de la politique de contrôle des naissances et de l’exode rural : le manque de filles, et donc d’épouses pour nombre de paysans. Au-delà des explications faciles : difficultés économiques, déséquilibres démographiques, trafic humain, cette enquête inédite donne la parole à ces femmes dont l’image ambiguë sert un discours local ambivalent. Fruit d’enquêtes menées très récemment autour de plusieurs postes frontaliers, les témoignages et situations nourrissant cet essai expriment la complexité d’un fait social existant de manière floue entre flux migratoires, transactions commerciales et déséquilibres sociaux, typiques d’Extrême-Orient et surtout de cet espace frontalier en devenir. Prétendre saisir ces vies souvent réduites à l’impasse, précaires, existant en marge du monde, impose de se confronter au terrain, à l’écoute des épreuves individuelles, sans parti-pris ni compromission, et avec humilité.
Abstract
They live quietly in the villages and towns of China’s Yunnan and Guangxi provinces, which border their country of origin. Undocumented migrants, abused women, Vietnamese women of all ages try to live decent lives as wives and mothers, isolated from their home communities. If their “sisters” from border brothels attract attention from researchers, these unfortunates do not generate much interest. The product of a turbulent history of conflict, trade, and alliances between China and Vietnam, but also driven by poverty and hope, these women have recently helped provide a local solution to one of China’s major demographic issues: the lack of girls and thus spouses in rural areas resulting from China’s family planning policies and rural-urban migration. Stolen, Vanished, Wedded goes beyond the structural explanations for these women’s existence—economic difficulties, demographic imbalance, human trafficking—and lets them speak for themselves, acknowledging the ambiguity of their identities and the role that these identities play in an ambivalent local discourse. The result of investigations conducted recently, the book’s biographies and descriptions express the complexity of this social phenonemon—a phenomemon complicated by flows of migrations and business transactions, and one that is typical in the developing border regions of East and Southeast Asia. It describes the daily realities of these women’s marginalized and insecure lives by drawing on extensive empirical research conducted without preconceptions or compromise, but not without humility.


L’auteur
Ethnologue d’abord formée à l’Université Paris X-Nanterre puis par la pratique, et sinologue formée à l’Institut des Langues et Civilisations Orientales de Paris (INALCO), Caroline Grillot a effectué plusieurs séjours en Chine où elle a passé plus de dix ans, aux Universités du Shandong (1994-95) et du Sichuan (1998-2000), avec le soutien du ministère français des Affaires étrangères et européennes, puis comme assistante de projet UNESCO à Beijing pour la mise en place de programmes en sciences sociales. Longtemps engagée dans le milieu de la musique indépendante chinoise, elle fut également traductrice de romans chinois pour les éditions Bleu de Chine (Paris) et pour divers projets artistiques. Elle achève un Ph.D. (thèse de doctorat) en anthropologie sociale en co-tutelle, sous la direction conjointe du professeur Lisa Wynn de l’Université Macquarie de Sydney (Australie) et du professeur Pal Nyíri de l’Université Libre d’Amsterdam (Pays-Bas).
The Author
Social Anthropologist (University Paris X-Nanterre) and sinologist (INALCO, France), Caroline Grillot has lived in China for more than ten years. A student at the Universities of Shandong (1994-95) and Sichuan (1998-2000), she was supported by the French Ministry of Foreign and European Affairs. C. Grillot has worked as a program assistant at UNESCO’s Beijing Office on the implementation of several programs in social sciences, and as a translator of Chinese novels for the French publisher Bleu de Chine (Paris). She has also conducted research in the field of Chinese underground music. C. Grillot is now pursuing a Ph.D. in social anthropology under the joint supervision of Professors Lisa Wynn at Macquarie University in Sydney (Australia), and Pal Nyíri at the Free University in Amsterdam (The Netherlands).


Prix public TTC (Selling Price) : 21 €
Langue : français (Language: French)
ISBN : 978-2-7539-0172-8
Date de parution : 14-07-2010

Cet ouvrage est le fruit d'un programme de l’Institut de recherche sur l’Asie du Sud-Est contemporaine (IRASEC) publié avec l'appui financier de son Observatoire sur les trafics illicites.
This book has been published with the financial support of the French Research Institute on Contemporary Southeast Asia (IRASEC) and its Observatory on Illicit trafficking in the Mekong sub-Region.
En partenariat avec l’Institut de recherche sur l’Asie du Sud-Est contemporaine (IRASEC, Bangkok, organisme dépendant du ministère français des Affaires étrangères et du CNRS).
In partnership with the French Research Institute on Contemporary Southeast Asia (IRASEC, Bangkok, on behalf of the French Ministry of Foreign and European Affairs and of the French National Centre for Scientific Research)

Ouvrage publié aux Éditions Connaissances et Savoirs - CS - (Connaissances et Savoirs Publishing House).14 rue des Volontaires 75015 Paris (France). www.connaissances-savoirs.com .
Commandes (orders) : diffusion@connaissances-savoirs.com
Editions CS  Collection : Sources d'Asie (“Sources of Asia” book series, CS publishing house) dirigée par (book series directors) : Pierre Le Roux & Bernard Sellato
Bientôt disponible sur (also soon available on) : www.amazon.fr, www.decitre.fr, www.chapitre.com, www.librairiedialogues.fr
Autres ouvrages sur l'Asie du Sud-Est parus chez le même éditeur : Hors-collection

8 juin 2010

[Annonce] Recherche de correcteur contre cours ou aide en chinois.

Voici ci - dessous une proposition d'aide ou d'échange de langue contre service :
" Étudiante chinoise en Histoire contemporaine, je cherche un(e) correcteur(trice) français(e) pour mon Mémoire qui sera rendu en septembre.
Je n'ai pas les moyens de payer pour la correction, donc je voudrais, en retour, soit donner des cours de chinois, ou traduire ou corriger du chinois, ou toute autre chose que je pourrais faire concernant la langue chinoise et les connaissances du monde chinois.
Je voudrais finir mon mémoire pendant les vacances. Si ma ou mon partenaire veut garder ces heures pour l'année scolaire prochaine, c'est aussi faisable. On pourrait en parler.
N'hésitez pas à m'écrire pour discuter. Merci beaucoup. Voici mon mail : xinyusonge(at)gmail.com "
 Si besoin, contactez - moi pour tout renseignement.

7 juin 2010

[Conference] (Musee Guimet) Le Gandhâra vu de la Chine.

Jeudi 10 juin à 12h15
Conférence publique et gratuite
par Jacques Giès, président du Musée Guimet
Le Gandhâra vu de la Chine
 --
Le point de vue de la Chine est ici légitime.
Les premières mentions à caractère historique que nous avons sur la contrée bouddhique située au nord-ouest de l’Inde, sont celles de ses annales, notamment dans ces relations de pèlerinages de moines bouddhistes chinois aux sources de la Doctrine du Buddha, dans l’Inde même, sur le cours moyen du Gange.
Ces relations, cependant, remontant au Ve siècle, apparaissent bien tardives en regard des influences tangibles du Gandhâra sur le “premier art bouddhique” en Chine, tels que les conservent les sanctuaires rupestres présents sur le grand arc septentrional de l’Empire du Milieu, depuis ses provinces de l’Asie centrale jusqu’à son orient le plus lointain.
On envisagera dans cette communication cette prime influence sur l’avènement d’un phénomène religieux majeur qui intéressa pendant près de mille ans l’histoire de la Haute Asie.
 --
Renseignements, réservations : 01 40 73 88 18 
 --
Auditorium Guimet Musée national des arts asiatiques 6, place d’Iéna – 75016 Paris
Tél. : 01 40 73 88 18
auditorium@guimet.fr ; www.guimet.fr

19 mai 2010

[Séminaire] Rappel - séminaire Observatoire Asie du Sud-est - vendredi 21 mai

[Publication] Southeast Asia in the Fifteenth Century.

The China Factor
Geoff Wade and Sun Laichen (Editors)

The fifteenth century is an enigma in Southeast Asian history - too late for classical inscriptions, and generally too early for indigenous texts or European observations. The arrival of European ships, ideas and economies in the early sixteenth century has long been seen as the origin of the early modern era in Southeast Asia, but the present collection challenges this view, suggesting that intense and lasting political and economic changes were already well underway by 1500.
The argument rests on developments such as the introduction of firearms, more intensive rice agriculture, Thai and Viet ceramic exports, Korean and Ryukyu contacts with Southeast Asia, the demise of Champa, the climax of Viet and northern Tai statecraft, the birth of the Melayu-Muslim kingship in Melaka and the creation of a new Muslim Javanese civilization on Java's north coast. Coincident with these changes, Ming China's engagement with Southeast Asia grew as a result of overland expansion into the Tai and Viet polities, state-sponsored maritime voyages, and private Chinese trade and migration to the region.
Southeast Asia in the Fifteenth Century: The China Factor draws together the great changes that occurred in Southeast Asia during the fifteenth century, and considers the extent to which Ming China's engagement with the region helped usher in the early modern period of Southeast Asian history.
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Geoff WADE is a Historian with interests in Sino-Southeast Asian interactions, comparative historiography and the use of Chinese texts as sources for Southeast Asian history.
SUN Laichen is an Associate Professor at California State University, Fullerton. He specializes in early modern Southeast Asian history, particularly the interaction between China and Mainland Southeast Asia.
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publication year: 2010
512 pages
ISBN: 978-9971-69-448-7  Paperback  US$32  S$45
Our edition is available worldwide except Hong Kong and Taiwan.
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[Article] Underwater archaeological investigation for ancient vessel in South Sea.

English.news.cn | 2010-05-10 | (Source: CCTV.com | Editor: An)
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BEIJING, May. 10 -- The submarine archaeological probe on an ancient vessel sunk in the South China Sea near Shan'tou has been going on for about a month. Nearly 1,000 pieces of cultural relics have been retrieved.
Archaeologists say the vessel, known as "Nanao No.1", contains some very rare and valuable porcelain wares. Most of them were made by two leading workshops in Zhangzhou and Jingdezhen, back to the Song and Ming dynasties. Among those already retrieved from the water, the biggest one is a "China Blue" plate. Its diameter is up to 30 centimeters.
The area where the ship sak is along a very important commercial route of the East Asia, better known as silkroad on the sea. It linked Japan and the Korean peninsula in the north, the Philippines i the east ahd Indonesia in the south.

The submarine archaeological probe on an ancient vessel sunk in the South China Sea near Shan'tou has been going on for about a month. Nearly 1,000 pieces of cultural relics have been retrieved.(CCTV.com)

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10 mai 2010

[Article] Ancient ship gives up hoard of rare porcelain.

Xinhua  |   2010-5-3
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A TREASURE trove of priceless porcelain has been uncovered from a 400-year-old merchant shipwreck, evidence that Chinese merchants may have flouted bans on foreign trade.
More than 80 pieces of porcelain from Emperor Wanli's reign (1573-1620) have been salvaged from the ancient ship off south China's Guangdong Province, the provincial cultural relics bureau announced yesterday.
Archaeologists believe the ship, which sank in waters off Nan'ao County, Shantou City, may have been carrying 10,000 pieces of blue-and-white porcelain from the Ming Dynasty (1368-1644).
Some of the larger porcelain bowls found in the vessel, dubbed "Nan'ao-1," were probably made for foreign trade as they were not commonly used in Chinese daily life at that time, experts believe.
The find is particularly interesting as Wanli's administration banned sea trade.
Sheet copper and coins found during the salvage operation indicated the ship might have been smuggling copper too, as its export was also banned at the time, said Sun Jian, head of the salvage team.
The Ming Dynasty restricted private sea trade to deter piracy, which had imposed huge hardships on legitimate sea traders, and ensure maritime security along Chinese coastal areas.
Many ancient Chinese dynasties, including the Ming Dynasty, banned the export of copper as the metal was precious, hard to mine and mainly used to manufacture coins in ancient China.
The team also recovered equipment that looked like cannon, but it was not unusual for ancient merchants to arm their ships against pirates, said Sun.
More than 20 experts started the salvage operation on April 9 and would finish in another 90 days if weather conditions permitted, he said.
The excavation was scheduled to begin on September 26 last year, but was postponed due to severe weather conditions, including typhoons and cold snaps.
Archaeologists have been saying they believe the wreck will shed new light on China's foreign trade at the time.
Local fishermen in May 2007 found the wreck, estimated to be about 25 meters long and 7 meters wide, buried in silt 27 meters underwater and about 5.6 nautical miles from Shantou City.
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29 mars 2010

Call for papers - Portuguese/Luso Asian (Singapore and Malaysia)


Portuguese and Luso-Asian Legacies in Southeast Asia, 1511-2011
28–30 September 2010
Singapore and Melaka

Co-sponsored by :
The Institute of Southeast Asian Studies
The Embassy of Portugal in Singapore

CFP Website:  Call for papers-28-30.sep.10 (pdf)

In recognition of the half-millennium that has transpired since Afonso de Albuquerque's conquest of Melaka in 1511, the Institute of Southeast Asian Studies issues this call for papers for a three-day interdisciplinary international conference of about 25 scholars to explore the legacies and evolution of Portuguese and Luso-Asian peoples and communities in Southeast Asia (along the Goa-Melaka-Macau axis) over the past 500 years.  Contributors are encouraged to submit paper abstracts whose themes build on recent scholarship that is introducing fresh perspectives for characterizing and contextualizing Portuguese/Luso-Asian experiences and interactions in the region.  Papers that also attempt to demonstrate (a) long-term legacies and evolutionary processes, or (b) linkages between the Portuguese/Luso-Asians in Southeast Asia and the larger Portuguese world globally are especially welcome.  Possible themes for papers include:
- Societal accommodation and attendant outcomes;
- Collaboration, integration, adaptation, and networking;
- Continuities, discontinuities, and transformations (political, economic, social, cultural, religious, or scientific);
- Reciprocal cultural impacts and social hybridity;
- Interactions and conflicts;
- The dynamics and impact of both formal and informal Portuguese and Luso-Asian structures and communities.
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Paper selection will begin on 12 April 2010 and conclude on 10 May 2010.
Electronic versions of proposals should be submitted to Dr. Laura Jarnagin Pang, PhD.
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27 mars 2010

[Photos] Time - Ordos, China : A Modern Ghost Town.

In the Kangbanshi district of Ordos City, Inner Mongolia, a home for one million people remains nearly empty five years after construction began.
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Photograph by Michael Christopher Brown for TIME.


24 mars 2010

[Article] Searching for Zheng: China's Ming-Era Voyager

Monday, Mar. 08, 2010 | Time | By Ishaan Tharoor
One of the more famous paintings of the medieval Ming dynasty, which ruled China for about three centuries, is that of a court attendant holding a rope around a giraffe. An inscription on the side says the animal dwelled near "the corners of the western sea, in the stagnant waters of a great morass." According to legend, the giraffe was found in Africa, along with zebras and ostriches, and brought back with the grand 15th century expeditions of Zheng He, China's greatest mariner.

A worker inspects a statue of Chinese ancient voyager Zheng He (1371-1435) in preparation for a 2005 exhibition in Shanghai about Zheng's voyages (China Photos / Getty Images).

More than half a millennium later, Zheng has become a potent symbol for modern China. In 2005, the country marked the 600th anniversary of the seven voyages from 1405 to 1433 undertaken by Zheng's vast "treasure fleets" with nationwide celebrations; the opening ceremony of the 2008 Olympic Games in Beijing dramatized his explorations from Southeast Asia to the Middle East and the shores of Africa. On Feb. 26, China's Ministry of Commerce announced it was funding a three-year project with the assistance of the Kenyan government to search for Ming-era vessels that had supposedly foundered off the East African coast. "Historical records indicate Chinese merchant ships sank in the seas around Kenya," Zhang Wei, a curator for a state museum, told China's official Xinhua news agency. "We hope to find wrecks of the fleet of the legendary Zheng He." (See pictures of China's investments in Africa.)
There is more than historical curiosity behind these new efforts. For centuries after his expeditions, Zheng — a Muslim eunuch — slipped out of public awareness, obscured by the rise and fall of new dynasties. Talk of his exploits was revived briefly at the beginning of the 20th century as the fledgling Chinese republic sought to build a navy in the shadow of imperial Japan. But experts say his place as a patriotic national hero has been truly cemented only in the past two decades, parallel with China's geopolitical rise — and the growth of its significant economic presence in many African nations and countries around the Indian Ocean.
The legacy of Zheng's voyages — involving hundreds of ships, some exponentially larger than the three captained by Christopher Columbus decades later, in 1492 — is being invoked by the Chinese as historical proof of the difference between China's and the West's roles in the world. Though the unprecedented display of maritime power was meant to extend the Ming dynasty's reach over a network of tributary states, Zheng rarely resorted to the type of violent, coercive measures taken for centuries by European colonizers, especially in Africa. "Zheng's a nominal symbol of China's peaceful engagement with the world," says Geoffrey Wade, a historian at the Institute of Southeast Asian Studies in Singapore who has translated Ming records pertaining to the voyages. "With him, it's like the Chinese have an ambassador of friendship — a sign that they aren't going to hurt anybody." (See pictures of the making of modern China.)

In recent years, though, Beijing has come under criticism (...)
Read more: http://www.time.com/time/world/article/...
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18 mars 2010

Film : rendez-vous cinématographique sur la laque (Paris)


Le film "La Laque en Asie, de la technique à l'Art" 
(production Réseau Asie - Imasie, CNRS images, 52min, 2010)
sera présenté au Festival Jean-Rouch - 29e Bilan du Film Ethnographique,
au Musée de l'Homme à Paris (M° Trocadéro)
le samedi 27 mars 2010 à 14h30.
Ce film conte pour la première fois la formidable aventure de la laque, cette technique d’excellence présente en Asie depuis plus de 9 000 ans. De l’arbre à laque aux laques synthétiques, du bol « Wajima » du Japon aux meubles laqués à la chaîne en Chine, en passant par le tableau en laque poncée du Vietnam, artisans, artistes et chercheurs vous feront découvrir les différentes facettes de ces objets devenus œuvres d’art.
Contact : Momoko Seto

 

14 févr. 2010

新年好!

Aujourd'hui, 14 février 2010, commence Canh Dần, 庚寅, année du Tigre.

... Bonne année du Tigre à toutes et à tous!