Carnet n°13 - juin 2010Avec des contributions d’Olivier Ferrari, Narumon Hinshiranan Arunotai, Jacques Ivanoff et Arnaud Leveau
La longue crise qui sévit en Thaïlande a touché tous les secteurs d’activités en révélant au monde des dysfonctionnements de la société thaïlandaise qui « posent question ». Le centre économique et commercial de la capitale s’est transformé du 3 avril au 19 mai en un vaste camp retranché insurrectionnel. Quel spectacle peut-il mieux faire comprendre le malaise de la Thaïlande, que celui de cette "masse paysanne" au cœur de celle de la ville marchande, composée d’une élite de nouveaux riches qui estiment être les "vrais Thaïlandais".
Le face-à-face a obligé chaque camp à affronter des questions de société qui surgissent non pas spontanément, mais qui auraient dû être réglées depuis longtemps : la fragmentation mentale du territoire national (le fameux geo-body de l’historien Thongchai Winichakul), l’historique de la construction de l’identité nationale thaï (la Thainess).
Le face-à-face a obligé chaque camp à affronter des questions de société qui surgissent non pas spontanément, mais qui auraient dû être réglées depuis longtemps : la fragmentation mentale du territoire national (le fameux geo-body de l’historien Thongchai Winichakul), l’historique de la construction de l’identité nationale thaï (la Thainess).
Dans le cadre de la prochaine réédition de sa Monographie nationale sur la Thaïlande contemporaine (dernier trimestre 2010), l’Irasec propose des pistes de réflexions sur les origines d’une crise vues par quatre chercheurs : Jacques Ivanoff (CNRS –Irasec), Olivier Ferrari (Irasec – CUSRI), Narumon Hinshiranan Arunotai (Université Chulalongkorn – CUSRI) et Arnaud Leveau (Irasec).
Irasec – Occasional Paper n°13
115 pages
Téléchargement gratuit depuis www.irasec.com
ISBN 978-616-90282-5-3
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